Nano, sur l'eau (14)

Et donc, ce mois-ci c'était le NaNo.

Et comme tous les ans depuis 2014, je participe.

Et comme tous les ans depuis chaispucombien parce que j'ai la flemme de rechercher, je me fixe un objectif perso (10.000 mots, en général).

Et pour une fois, je ne l'ai même pas atteint 😩 (même en comptant les milliers de mots ajoutés par la transcription de mes CR des Imaginales 😳).

En même temps, ce n'est pas la première fois cette année (comme en avril, j'ai dépassé le quota mensuel ordinaire, mais c'est tout). Je dirais même que c'est pire : je n'ai fait aucun effort 😳 et j'ai même à peine ouvert mon manuscrit 😱

Et je m'en fous.

J'ai assez peu d'énergie, ces temps-ci, donc je la ménage. J'ai vraiment envie de terminer mes Symbiotes, mais j'ai trop de sources de contrariétés à côté pour être assez en forme pour me concentrer dessus. Au moins, je continue à réfléchir au projet et à imaginer la direction dans laquelle je l'envoie (et les pistes pour améliorer et renforcer ces nouvelles idées).

Je me dis, sans doute à raison, que je ne prends pas assez mon métier d'autrice au sérieux. Mais étant donné que notre gouvernement adoré (non) gère la crise du Covid avec son efficacité coutumière 🙄 je ne me sens pas d'attaque pour prendre de nouvelles bonnes habitudes de vie et d'écriture. Ca me plombe trop.

Donc voilà : j'écris quand j'y arrive, je ne culpabilise pas quand j'écris "0" dans la case de mon quota du jour, j'essaie quand même de pondre un article hebdomadaire pour le blog parce que quand même, et je croise fortement les doigts pour que je sois plus productive (soit en état de l'être) l'an prochain.

Et j'ai quand même réussi à aligner 7.000 mots ce mois-ci 🏆



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