Le Dératiseur : Avancement (1)

J'ai attendu une semaine de plus que prévu, mais l'important est que ce soit lancé 😉



Donc voilà : j'ai commencé à raconter l'histoire de Bertrand Devillers, fils rebelle d'un médecin de campagne qui décide de se lancer dans l'extermination des nuisibles plutôt qu'une carrière de biologiste.
Comme évoqué précédemment, j'ai décidé de le placer dans le même univers que Ceux qui vivent du sang versé, parce que ça m'évitera de refaire du worldbuilding on m'a plusieurs fois suggéré d'écrire une préquelle à l'histoire de Paul et Carmilla, et à défaut de m'exécuter (ça ne m'intéresse pas, ou alors pas pour le moment 😳), j'ai pensé qu'avoir un point de vue plus "humain normal" sur la question du surnaturel pourrait être intéressant à développer.

Sachez tout de même que je ne compte pas faire intervenir les protagonistes de CQVDSV : je ne vois pas ce que ça apporterait à l'histoire et je ne veux pas risquer qu'on vole la vedette à mon Bébert 😉 Il n'est pas exclu que je change d'avis... à condition d'avoir une vraie bonne idée pour ça, ce qui n'est pas le cas pour l'instant.*

Pour l'instant, comme dans toute bonne histoire de super-héros 😛, j'ai commencé par la "origin story" : on suit notre futur dératiseur dans sa vie d'étudiant (ce qui me rappelle des souvenirs, vu le "où et quand" j'ai situé les choses), lorsque certains événements désagréables commencent à lui tomber sur le paletot... 😈

Je signale aussi que même si je l'ai listé sur ma page du NaNo (le prochain Camp est dans moins de trois semaines 😉), ce texte n'est pas dans mes priorités. Je me suis mise dessus parce que c'est celui qui "s'écrit tout seul" en ce moment, et que même si la vie reprend son cours, je ne pense pas que les choses reviendront à un semblant de normalité avant septembre, et encore. Je reste donc en mode "écrivons ce qui se laisse écrire" pour l'instant, même si j'espère être bientôt capable de me ré-atteler à mes Symbiotes.

En attendant, bon courage à tous en ces "temps intéressants".



* : j'aurais l'impression de faire du fanservice, ce dont je me méfie.

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