CDVDSV : Avancement (10)
Eh bien voilà, j'ai fini ma deuxième partie, et j'ai même avancé dans la troisième.
Bizarrement, j'ai pas cette impression de "j'ai franchi une étape", comme pour la P1, et du coup, bah je le sens pas de sortir le champagne, même virtuel. Sans doute parce que je sais ce qui m'attend avec la P3 : beaucoup de trucs à revoir, dont des problèmes de rythme et un peu de caractérisation...
A gauche : moi devant le travail accompli. A droite : moi devant le travail encore à accomplir.
D'un côté, je suis pressée de finir et de mettre tout ça derrière moi (surtout que j'ai encore l'épreuve du synopsis* à passer...). De l'autre, j'ai vraiment envie de faire les choses comme il faut et de résoudre les problèmes qui m'ont été notifiés par mes adorables bêta-lectrices...
Bon, pour les gens qui aiment les statistiques, le boulot accompli représente, à ce stade de la correction, 483 ksec (ou 83.000 mots), pour presque 300 pages. Ca veut dire qu'il me reste encore une centaine de pages (170 ksec / 50.000 mots) en l'état, mais qui risquent d'être amenés à grossir... J'espère rester en-dessous des 700 ksec...
Bon, pour les gens qui aiment les statistiques, le boulot accompli représente, à ce stade de la correction, 483 ksec (ou 83.000 mots), pour presque 300 pages. Ca veut dire qu'il me reste encore une centaine de pages (170 ksec / 50.000 mots) en l'état, mais qui risquent d'être amenés à grossir... J'espère rester en-dessous des 700 ksec...
Le petit extrait qui va bien (P2, Ch34) :
Ils marchent d’un pas lent le long du fleuve, sur deux ou trois kilomètres, puis remontent vers le nord et le centre-ville à travers les petites rues. Elle s’arrête de temps à autre pour observer telle ou telle boutique, statue ou devanture de musée. N’importe quoi pour se laisser distraire, ne pas penser à ce qui s’est passé tout à l’heure, dans leur chambre, à l’hôtel. Mais dans l’atmosphère nocturne, même les façades colorées lui semblent ternes et austères. Elle n’en retient que l’oppression des venelles étroites et des bâtisses d’allure gothique qui les bordent, jetant sur elle un regard accusateur depuis chacune des fenêtres de leurs quatre étages.
* : je suis convaincue que le syno a été inventé par les éditeurs dans le seul but de faire souffrir les auteurs. Pour ma part, j'ai fait huit tentatives avant de me dire "je laisse tomber et je finis les corrections d'abord"...
Félicitations pour ta seconde partie ! Et courage pour la suite !
RépondreSupprimerMerci, je vais en avoir besoin...
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