Symbiotes : Avancement (7)

Eh bien malgré tout, ça progresse pas trop mal.
Je termine cette semaine à un peu plus de 1800 mots, pour un peu plus de 7.000 écrits depuis le début du mois.
J'aimerais dépasser les 10.000 que je me suis fixés, et je pense que pourrais le faire... mais ça dépend de plein de facteurs, donc ça reste incertain. Statistiquement, je suis à un peu plus des deux tiers de mon objectif après deux tiers du temps, donc ça va, mais je ne dois pas me reposer sur mes lauriers. Le fait est que j'écris un jour sur deux, en ce moment, et même si c'est pour atteindre à chaque fois le double de mon quota normal, je préférerais être capable de plus de régularité.

Mes Symbiotes avancent tous seuls, ce qui n'est pas une mauvaise chose, mais après 42.000 mots* je suis en train de partir dans une direction que je n'avais pas prévue, ou du moins, pas comme ça.

Le fait est que je me préoccupais surtout des états d'âme de Trudi et de son acclimatation à la vie paradisienne, mais je me suis rendue compte qu'elle était bien plus coriace que je ne pensais, plus têtue, aussi, et, d'une certaine façon, plus adaptable. Bref, il se pourrait que parce que sa vie a elle a été bouleversée, elle bouleverse en retour celle de toute la galaxie !**

Ce n'est pas réellement "grave", dans la mesure où ça fera toujours une bonne histoire, mais là, les problématiques que j'envisageais d'aborder ne seront plus les mêmes, et ça me fait bizarre de penser à mon texte comme à un "roman d'aventure", alors que je l'envisageais sous un angle beaucoup plus intimiste 🤔

Enfin bon, on va boucler ça*** et on verra ensuite ce que ça vaut.
Mieux vaut un "mauvais" roman fini qu'un bon manuscrit jamais terminé.****



Ce n'est pas exactement comme ça que je visualise Trudi 😛 mais pour une couverture de magazine de SF pulp, je trouve que celle-là se démarque bien du sexisme habituel et est plutôt dans l'esprit de ma bonne femme... 😁





* : tant que ça ? J'ai l'impression de n'avoir presque rien raconté 😲

** : ça fait un peu grandiloquent dit comme ça, mais quand on réfléchit aux implications, mine de rien... 😈 

*** : je pense pouvoir y arriver cette année, mais je préfère prendre mon temps et ne pas me stresser avec des deadlines auto-imposées.

**** : ce qui me fait penser que j'ai encore le Journal d'Anya à terminer... 😳*****

***** : qui compte presque 150.000 mots, mine de rien.

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